et pas que!
On se connait depuis déjà bien des années.
C’est un grand costaud qui vous fait oublier les rosiers qui se plaignent.
Pas étonnant qu’il soit arrivé dans mon jardin, me direz vous!
Si les apiculteurs m’écoutaient , ils l’auraient planté depuis bien longtemps.
Aux heures chaudes de l’été, c’est une ruche à ciel ouvert.
Quand on parle de lui, je pense ce grand fou .
Il est au monde des rosiers, ce qu’est l’aralia californica au monde des vivaces.
Grandes cascades de fleurs blanches parfumées qui submergent le grillage et les arbres alentours .
De temps à autre, je prends le sécateur pour le discipliner car dans son élan et sa générosité, rien ne l’arrête.
Aujourd’hui, il prépare son spectacle d’automne , des milliers de baies pour des opulents bouquets .
Un festin pour les oiseaux durant les longs mois d’hiver .
Avec les années, son tronc ressemble à celui d’un arbre .
J’aime beaucoup sa générosité, alors cet été je l’ai multiplié, avis aux amateurs.