à cueillir sans sourcillier
Ces deux là ont du tempérament,
chaleur, sécheresse….rien ne leur sape le moral au final !
Toujours prêtes pour d’opulents bouquets en toute simplicité.
Elles sont même un peu sans gêne et leurs voisines doivent le savoir.
Mais comme elles sont bourrées de talents insoupçonnés, je ne fais que les surveiller avec bienveillance .
NB : je parle d’elles dans mon premier CD-livre numérique Fleurs du jardin pour ceux qui le possèdent, vous pourrez retrouver les détails de leur culture et devinez un peu de leurs talents cachés (à suivre)
Et oui, c’est grâce à ce CD que j’ai appris à aimer d’autres plantes moins connues dans le commerce, à en faire des bouquets, à en semer, à partager etc etc….. Merci pour tout ça Sylvie 🙂
Ces lysimaques reviennent à moi plusieurs fois ces derniers temps et marquent mon esprit. Je vais en planter à l’automne dans mon jardin blanc. J’hésite entre Lysimaca clethroïdes et Lysimaca ephemerum…
Merci pour ce superbe bouquet plein de gaité !
bonjour florence,
lysimachia clethroides est certainement plus facile à cultiver , moins exigeante en eau, aussi une valeur sûre pour les bouquets
ephemerum n’est plus au jardin actuellement , ce qui est assez significatif sur sa résistance ,
mais quand on aime on multiplie les essais comparatifs ,
bonne plantation